Astérix – L’Iris Blanc (Fabcaro, Didier Conrad, édition Albert René)
César ne parvient plus à motiver ses troupes. Les soldats romains n’ont plus envie d’aller au front et l’idée même de combattre les irréductibles Gaulois suffit à leur donner envie de rester bien au chaud à la maison. Un jour pourtant, un homme présente à César l’Iris Blanc, une méthode révolutionnaire conçue pour regonfler le moral des troupes. Une méthode dont s’emparent également les Gaulois… Quarantième album de la légendaire saga Astérix, L’Iris Blanc est aussi le premier scénarisé par Fabcaro et le premier qu’Albert Uderzo, le fameux dessinateur originel d’Astérix, n’a pas validé. De quoi aborder cette sortie avec une certaine crainte. Pourtant, la majorité des fans est formelle : L’Iris Blanc est un très bon cru. Une aventure pleine de références et de situations comiques, qui renoue avec l’esprit des meilleurs albums, notamment grâce au dessin toujours pertinent et respectueux de Didier Conrad.