Une journée ne dure que 24 heures, et il y a assez peu de chance pour que les choses évoluent, de ce côté-là. Or, pendant lesdites 24 heures, on est supposé faire un nombre incroyable de choses (non, pas seulement manger et dormir). Si certains s’en sortent bien, d’autres, perpétuellement débordés, courent toujours… après le temps !
Que vous fassiez partie de la première ou de la seconde de ces catégories, après avoir découvert notre stratégie en quatre points, vous aurez forcément gagné en efficacité.
Car heureusement, comme dans presque tous les domaines, un peu de bon sens et de bonne volonté peuvent considérablement améliorer les choses. Alors, cessez donc de gémir, les yeux au ciel « j’y arriverai jamaiiiiis, avec tout le boulot qu’on aaaa » quand un prof vous donne douze ridicules petits exercices à résoudre pour le lendemain.
1. Planifier et anticiper
Savoir ce que l’on doit faire, tout ce que l’on doit faire, rien que ce que l’on doit faire – et pour quand – est à la fois le b-a ba et le meilleur des atouts. Avec un peu d’entrainement, tout le monde est capable de s’organiser en sachant le temps qu’il faudra pour réaliser telle ou telle tâche. Cela permet de bien étaler le boulot sur la semaine. Rien de tel pour éviter la quasi nuit blanche pour terminer la dissert... dont on connaît le sujet depuis plus de quinze jours.
Pour faire mieux encore, on hiérarchisera rapidement les boulots, en distinguant le très important, l’important, le moyennement important… et le reste (qui n’est pas forcément facultatif). C’est une démarche personnelle et qui doit être sans cesse réajustée. Vous pouvez, par exemple, vous dire que le défi majeur du second trimestre sera de rattraper une note trop moyenne dans l’une des matières à fort coefficient au bac. Du coup, tout ce qui touchera cet objectif sera classé prioritaire.
2. Trouver ses champs d’efficacité
Certains sont plus vifs au saut du lit, d’autres ne travaillent jamais aussi bien qu’après un dîner léger, juste avant d’aller se coucher. Vous pourrez assez facilement repérer vos « pics » d’énergie : arrangez-vous pour les rentabiliser au mieux. Si, inversement, l’expérience a prouvé qu’entre treize et quatorze heures, vous êtes un vrai bulot, n’insistez pas. Détendez-vous pendant cette courte période, ou réservez-la à des tâches simples.