Pour faire simple
- Osons une définition simple de la problématique : c’est formaliser le problème qui se trouve
derrière la question.
- Comment on fait ? En reformulant la question, en la découpant dans tous les sens afin de trouver
les angles qui permettront d’y répondre et de traiter le problème.
De la méthode !
D’abord, il faut se poser ! Ne cherchez pas un plan idéal avant de savoir ce que vous allez mettre
dedans : c’est une fois que vous aurez des éléments de contenu que pourra germer une idée
d’articulation : il suffira alors de « répartir » les idées dans le plan. Or, on a trop souvent tendance à
faire l’inverse.
Première étape donc : concentrez-vous sur la question posée en ne pensant à rien d’autre (ni au
plan, ni à l’intro, à rien !).
Cherchez à expliquer chaque terme du sujet (sujet, verbe, complément) en associant chacun d’eux à
tout ce qui vous passe par la tête. Pour présenter la démarche autrement : découpez la
question dans tous les sens, arrêtez vous sur chaque mot, décortiquez le sujet pour voir les différents
angles sous lesquels on peut le traiter.
Dans cette démarche, la technique est assez simple : il faut fonctionner par associations d’idées. Cela
demande une préparation mentale, et surtout de prendre du recul afin de faire travailler les
neurones et produire le plus d’associations possibles : ces associations d’idées seront liées au sujet
dans son entier, ou aux mots-clé du sujet, en dressant des listes qui se rapporteront à chaque mot-clé.
L’intérêt de cette manière de procéder, c’est évidemment l’immersion dans le sujet. Mais c’est aussi
la possibilité d’enrichir les idées en allant puiser dans sa culture personnelle et la culture acquise
pendant l’année : c’est aussi ça que les profs attendent de vous !