Service national universel (SNU) : des séjours de cohésion en juin et juillet
Vous avez entre 15 et 17 ans, vous êtes de nationalité française, vous souhaitez participer à la construction d’une société de l’engagement, bâtie autour de la cohésion nationale ? Ne ratez pas les inscriptions du Service national universel !
Les inscriptions se poursuivent jusqu’au…
- Dimanche 24 avril pour le séjour du 12 au 24 juin
- Dimanche 1er mai pour le séjour du 3 au 15 juillet
Transmission et socle républicain
Pour rappel, le SNU s’adresse à tous les jeunes de 15 à 17 ans. Il comporte un séjour de cohésion et une mission d’intérêt général. Chaque jeune peut ensuite poursuivre une période d’engagement d’au moins 3 mois s’il le souhaite dans un dispositif de volontariat existant (service civique, réserves opérationnelles des Armées et de la gendarmerie nationale, sapeurs-pompiers volontaires, etc.)
Le séjour de cohésion de deux semaines vise à développer une culture de l’engagement, transmettre un socle républicain fondé sur la vie collective, la responsabilité et l’esprit de défense. Il est réalisé en hébergement collectif, dans un département autre que celui de résidence du volontaire.
Au programme : activités physiques et sportives, citoyenneté et travail sur l’Europe, découverte de l’engagement, moments de cohésion et de vivre ensemble, activités culturelles….
A l’issue du SNU, chaque jeune reçoit un certificat individuel de participation à la Journée Défense et Citoyenneté (JDC) et dispose d’un accès gratuit à une plateforme d’apprentissage du code de la route.
Pour s’inscrire, ça se passe ici.
Dans le même temps, les 7-25 ans passent en moyenne 3 h 50 par jour devant un écran, dont 2 h 50 sur le web. Une durée en forte progression avec l’âge, passant de 1 h 35 par jour devant des écrans au primaire (42 minutes sur le web) à 2 h 59 au collège (1 h 56) et 4 h 20 au lycée (3 h 10).
Les résultats d’un établissement sont une réalité complexe. La question est de savoir ce qu’un lycée a « ajouté » au niveau initial de ses élèves. Si un lycée présente un taux élevé pour un indicateur, cela peut par exemple être dû au fait :
- qu’il a reçu de bons élèves, dotés de bonnes méthodes de travail, qui ont pu obtenir le baccalauréat sans effort particulier de sa part,
- ou qu’il a su développer chez des élèves, peut-être moins bien dotés au départ, les connaissances et les capacités qui ont permis leur succès.
En somme, ces indicateurs permettent un diagnostic qui va au-delà de celui qui peut être fait à partir des seuls taux de réussite « bruts » à l’examen. La valeur ajoutée mesure ainsi la différence entre les résultats obtenus et les résultats qui étaient attendus, compte tenu des caractéristiques scolaires et sociodémographiques des élèves.
Pour découvrir les indicateurs de votre lycée, ça se passe ici.